mardi 15 septembre 2009

L’édition est-elle un sport de combat pour les truffes ?

On ne peut pas y échapper, l’éditeur Gilles Cohen Solal (GCS) est partout.
A l’origine de cet engouement, l’émission Striptease, dans laquelle, ledit GCS se ridiculise à tout va. Afin d’éclairer le lecteur encore ignorant, les Septembriseurs n’hésitent pas à mettre en ligne l’intégralité de ces 40 minutes déjà cultes :

Une phrase de parvenu résume bien la mentalité dont fait preuve M. Cohen : «il vaut mieux être M. Gendre que M. Rien».
Ainsi, ce cher Gilles, né pauvre et devenu gendre de Jean d’Ormesson, vit en face du Jardin du Luxembourg, et passe l’essentiel de son temps cigare au bec à parler d’argent.
Le meilleur de l’émission se trouve dans ses discussions avec les auteurs : M. Cohen s’y montre tour à tour méchant, lâche, concupiscent (pour reprendre son mot) et j’en passe.
Comme il l’explique bien dans son nouveau blog : «Non content d'être con, je ne sais pas faire !». Il est vrai qu’à ce degré-là de bêtise, il vaut mieux se servir les vannes soi-même. Exemple ici : «Je considère qu'après l'émission Striptease, il est temps que je fasse mes conneries à un endroit qui ne portera pas préjudice à la maison d'édition... J'ai donc créé un blog perso (évidemment, comme je suis nul, je ne sais pas le mettre en lien !)».
Pour le défendre, ses amis font de lui le briseur de tabous du microcosme de l’édition. Un briseur bien involontaire semble-t-il.
En complément cet article de Wrath où il est question du «Berlusconi de l’édition» : vous devinez qui !

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2 commentaires:

  1. Merci pour la vidéo, je la cherchais partout…!
    GCS, c'est la classe mais le David de la deuxième partie n'est pas en reste !

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  2. Ce mec est antipathique au possible !!!

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